ATP, Alexander Zverev : De nouvelles accusations de la part de son ancienne petite amie, Olga Sharypova

Alexander Zverev et Olga Sharypova

1 semaine et demi après son sacre à Cincinnati, Alexander Zverev est de nouveau sous les feux des projecteurs mais cette fois-ci, ce n’est pas dans le tennis mais bien sur un sujet très délicat : les violences faites aux femmes !

Dans une enquête en date du 25 août et parue sur le site Américain Slate, l’ancienne petite amie du finaliste de l’US Open 2020 accuse de nouveau Alexander Zverev de violences faites à son égard.

Ancienne joueuse sur le circuit ITF et petite amie du champion olympique entre 2018 et 2019, la Russe avait déjà publiquement accusé Alexander Zverev de violences, allant jusqu’à dire que l’Allemand lui avait couvert le visage avec un oreiller jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus respirer.

Dans cet article écrit par Ben Rothenberg, la jeune Russe y dévoile d’autres altercationsavec son ex petit ami mettant en cause sa santé physique et mentale.

Olga Sharypova révèle qu’elle se serait injectée de l’insuline (un médicament utilisé pour les diabétiques) afin de ne pas lutter avec Alexander Zverev : « Je ne voulais tout simplement pas me battre« . Le joueur Allemand la voyant allongée sur le sol, lui donna des morceaux de sucre pour la réveiller, puis aurait crié : « Pourquoi m’as-tu fait ça ? Tu comprends ce que tu m’as fait ? Si tu meurs dans ma chambre, j’aurais de gros problèmes. »

Toujours dans cette interview, la jeune joueuse Russe évoque une scène dans le même hôtel où a eu lieu leur précédente dispute. Ce jour là, Alexander Zverev l’aurait attaquée « plus violemment qu’il ne l’avait jamais fait auparavant » et d’après l’article de Ben Rothenberg, l’Allemand aurait souhaité sa mort : « Il a commencé à me frapper et dire : j’espère que tu vas mourir, tu aurais dû mourir hier, mais pas dans ma chambre. Si tu veux mourir, tu peux prendre de l’insuline et aller mourir dans la rue parce que je ne veux pas de problèmes. Je ne veux plus m’occuper de toi’« 

De ce que l’on sait, la Russe n’a pour le moment pas porté plainte et estime, dans l’article, que le but « n’était pas de voir Zverev puni » mais plutôt de faire en sorte que cette « histoire puisse aider les autres ».

Espérons que cela n’affectera pas le 4ème mondial pour l’US Open, lui qui est cité parmi les favoris du dernier Grand Chelem de l’année.

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